TROIS COQUILLES DE NOIX HABITEES
Claire a évoqué le blanc « sale » de la neige qui recouvre la végétation, les traces souterraines et en surface qui modulent le blanc immaculé qui vient d’abord à l’esprit quand on pense à la neige.
Le blanc a-t-il besoin du noir pour être vu ? Un contraste clair/obscur est-il nécessaire ?
Des contrastes de textures, de matières, s'y ajoutent : ardoise / porcelaine cuite et émaillée / terre crue et blanche mate dont la mollesse est perceptible à l’œil / la malléabilité de la cire, prête à fondre si la température s’élève, parce qu’il fait bien trop chaud pour un mois d’octobre, et qu’on sait qu’aux pôles, la banquise part en morceaux…
Des essais avec l’un de mes mouchoirs pliés-cousus – Effets de lignes de pliage/couture, ombres et lumières, reliefs et creux.
Difficultés techniques : comment fixer ces coquilles sur un tissu, même amidonné