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Les gestes / La geste (source Wikipedia)

revue de 2005 à 2012


Idée du récit d'un ensemble de faits
FROP : ensemble d'explorations, d'expériences, de constats, de relations, de mises en commun, d'échanges ; d'où aussi peut-être l'idée de ce qui accompagne nos cheminements, nos errances et recherches comme des éléments à valoriser sous la forme d'éditions limitées et modestes, elles ont débuté avec les fropzines, puis les cartes postales, puis avec les gestes- ceux périphériques à l'installation sur site. D'où l'importance du netboard ?
Idée de cycle
FROP : le temps du vrai confinement, les temps des faux confinements, le vrai déconfinement à venir…

La geste comme titre de notre proposition pour l'appel à projet ? Cela pourrait être un axe pour argumenter ?
Test accrochage sur l'écorce du tilleul
Capucine + Isabelle + Luce
 
Posted by Luz
Superpositions, juxtapositions, collages, empreintes, souvenirs en transparence. Laisser entrevoir des choix, des repentirs, des traces, des strates.

Comment rendre compte de la mémoire, mouvante, changeante, en perdition parfois ? Les paysages consignés dans une image fixe ont été avant tout traversés, ressentis. Que reste-t-il de ces expérimentations? Un souvenir déformé de la réalité, un simulacre du lieu dans lequel le corps a été immergé en totalité. Des sensations fugaces que l’on a du mal à saisir à nouveau. La représentation de la nature est un morceau choisi et cadré. Un cliché photographique, un dessin, une aquarelle sont déjà en soi des actes d’appropriation. Main mise sur un espace trop vaste, sans limite, qui nous échappe. On capture une parcelle de ce qui nous entoure pour en garder un fragment, le fixer, le transformer en objet personnel. En mélangeant la photographie d’un lieu, sa représentation, les textures, les couleurs, les pensées qui m’ont traversées, je recompose des images qui laissent apparaître le lieu support de ma contemplation comme un souvenir fantomatique.

J’invite aussi parfois d’autres protagonistes à me livrer leurs souvenirs, un ciel, un arbre, un morceau de sol. Je les combine à l’infini à mes propres productions, effaçant les limites de toute appartenance.Je les expose en transparence pour qu’il se mêlent à d’autres environnements, réels, animés, instables. Ces lieux ne sont alors plus les miens ou ceux des autres, ils ne sont plus à personne. Ils sont à nouveaux intemporels, fugitifs, plus proches de la Nature peut-être qui reste insaisissable.
Posted by isabelle
 
Posted by isabelle
20:18
isabelle
pas sûre que ça marche pour moi la visio
je suis dans la chambre, je vais essayer d'aller au salon mais il faut que je déloge Alice
20:33
deux options
intervention éphémère avec traces à l'int
soit pérenne à l'extérieur
pb : comment faire tenir au risque des intempéries en ext
en n'utilisant que du 90% naturel
travailler sur une proposition qui s'abîme
complément qui documente à l'intérieur la proposition
intérieur et extérieur
deux espaces
deux sensibilités
deux atmosphères et évolution différentes
idée d'un passage entre intérieur et extérieur
faire sortir du lieu pour rendre à la nature
remise en cause des catégories de nature/culture
dénominateur commun la ligne
se rapprocher du lieu
le tilleul
la vigne vierge
fruits du tilleul
miel de tilleul
chaque spectateur repart avec une graine de tilleul
renverser la situation de la nature éprouvée
miel comme colle
cristallisation
carrelage
le sol : réponse au plafond
21:07
Florence
« Une ligne de vie est un dispositif de sécurité permettant à son utilisateur de s’y attacher afin de se sécuriser contre les risques de chute. Elle est utilisée en escalade, dans les parcours acrobatiques en hauteur, les travaux en hauteur et sur les bateaux, en particulier les voiliers et certains zodiaques »
21:07
sachets de graines
air avec la suspension
sol/ciel
dessin de description
répartir les tâches
plusieurs lignes, 5 lignes
autour de la graine de tilleul
matière première la graine de tilleul
 
Posted by claire
Appel A Candidatures Exposition Art Exprim Espace Frans Krajcberg 2021 1
 
Posted by isabelle
Portraits portés, WIP…
Papier de soie, fil de coton, fusain. 2021
S'habiller des lieux ou l'assemblage de différentes pièces d'un patron de couture, dont le papier de soie s'imprègne de motifs végétaux prélevés sur un site parisien.
Ce travail est un work in progress. Il est amené à se développer au fil des éléments de patrons de couture qui le complèteront, comme des lieux auxquels ils se réfèreront. La tenue se développera ainsi comme un ensemble de gestes et d'attentions portés aux lieux et au milieu qui s'y déploient.
Les habitant.e.s
"Doigts d'or" + "Google maps"
Montage numérique de
silhouettes féminines issues de patrons de couture et de vues aériennes d'un lieu dit au nom évocateur : ici la ville de Corps dans l'Isère.

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Habits / Habiter : Enveloppes successives du corps.
Bâtir : Architecture / Couture.
Motif : Plan / Patron / Mobile.
Plis : Tissus-Tissage / Habitudes.
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Le corps & ses enveloppes sont mon terreau. Qu'il s'agisse de l'habit ou de l'habitat, les enveloppes souples ou rigides qui recouvrent le corps -le protègent ou l'agressent-, engendrent plis et habitudes, gestes et postures. Dans ce vivier de formes de vie se racontent les relations du corps à son milieu, et au monde.

Ce sont ces modalités de relations qui innervent mon travail. Elles s'ancrent dans la perméabilité et la fluidité des mots et des espaces, proches ou lointains, intimes ou collectifs, gravitant autour du corps.


Le terme d’“habitation” provient du latin habitatio et exprime le “fait d’habiter”, la “demeure”. Le mot “habituer” a longtemps signifié “habiller”, comme son étymologie latine le laisse entendre, mais habituari veut aussi dire “avoir telle manière d’être”, et celle-ci dépend pour beaucoup des vêtements… *


Cette porosité des étymologies ouvre le champ des possibles. Comment l'emploi du patron de couture, du plan d'architecture, de la cartographie, peut-il participer de cette topographie du corps & de ses enveloppes ? Quels sont les enchaînements de postures et de gestes plastiques, qui vont permettre de saisir, d'affiner, voire de réparer les contours d'une relation au monde toujours plus complexe ? Quelle perméabilité, imprégnation ou contagion des motifs, va pouvoir cerner et qualifier les enjeux de cette relation ?

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Site :
Insta :
@luce6002
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2021
Exposition collective, "On se prend toujours pour quelqu'un.e…"
Collectif FROP
Galerie 43, Paris 13
2019
"La vie en rose
2
",
Espace Canopy, Paris 18
Exposition collective
2019
La Chapelle Arty, "La vie en rose
1
"
, Atelier du Canada, Paris 18
Exposition collective
2017
Nuit OFF "Effets de lune", Espace Canopy, Paris 18
Exposition collective
2014
Atelier du Canada, Paris 18
Exposition collective
2014
Galerie Les Boulistes, "C'en dessus dessous", Paris 14
Exposition personnelle
2013
Espace GII, Paris 15
Exposition collective
2012
Galerie Les Boulistes, "(dé)calé", Paris 14
Exposition personnelle
mai 2011
Espace GII, Paris 15
Exposition personnelle
juin 2010
Atelier du Canada, Paris 18
Exposition collective

Inscrire dans l’espace

Raconter des histoires

Ces 2 axes ont guidé ma pratique. En tant que scénographe, en tant qu’illustratrice. Des pratiques qui relèvent également du collectif et de la commande. Interagir avec un texte, un auteur, des comédiens, des contraintes spatiales ou éditoriales.

La question d’une pratique personnelle détachée de ces cadres a longtemps été reléguée au second plan. Mais l’occasion m’est donnée, à travers le collectif Frop, d’y revenir.

Les questions d’environnements sont venues à moi à travers l’édition (3 ouvrages illustrés aux Éditions rue de l’Échiquier). J’ai rencontré des auteurs engagés qui m’ont entrainée dans leurs visions.

Quel lien autre que l’illustration puis-je nouer avec ces problématiques ? Comment puis-je les rencontrer tout en renouant avec une pratique personnelle en demi-sommeil ? Il est temps de se réveiller !

Attachée à la figuration, aux images populaires (ex-votos, images d’épinal, cartes à jouer) mais aussi à l’interaction avec le public, comme dans le spectacle vivant, je tente de déplacer ces formes vers des hybridations : des dessins qui deviennent mises en espace photographiques, des icônes qui se couchent sur des feuilles d’arbres, des sculptures végétales qui se projettent et forment devant nos yeux d’autres dessins…

 
Posted by claire